Café Campus de Montréal, 25.02.2018

Montréal recevait pour une 2e fois Udo DirkSchneider au Café Campus pour cette tournée d’adieu, il reprend avec son groupe les plus grands succès d’Accept quand il était le chanteur. Pour les accompagnés le groupe Elm Street.

Elm Street directement d’Autralie

Dès les 1eres notes on a senti la joie du groupe de venir nous présenté leur musique, un son des années 80 avec un raffinement des années 2000. La foule a bien apprécié leur prestation, le groupe a repris la chanson Bang your head(metal health) de Quiot Riot leur dernière chanson Meta lis the way a été dédié a Lemmy et Ronnie James Dio. Très bon choix de groupe pour commencer la soirée.

Udo Dirkschneider; la voix originale d’Accept

Dès son arrivée sur scène, le gaillard de 65 ans a mis la foule dans sa poche avec sa voix aiguë. Le groupe a une belle chimie entre eux, chaque musicien occupe bien la scène et quand c’est le temps des solos les guitaristes prennent les devants de la scène et le chanteur prend un peu de recul, pour leur laisser toute la place. Nous avons eu droit a tous les succès du groupe avec The beast inside, Midnight mover, Amamos la vida et pour les rappels Princess of the dawn, Metal heart, Fast as a shark et son plus grand succès Balls to the wall.

Texte et photos: Sébastien Jetté

Impérial de Québec, 27.02.2018

Le père Dirkschneider était de retour à Québec pour un ultime récital qui le voyait nous chanter les succès qui ont fait notre jeunesse du temps où il était le hurleur en chef chez les Allemands d’Accept. Le temps a, semble-t-il, fait son œuvre parmi la nombreuse foule présente au vu des tempes grisonnantes faciles à repérer, mais il y avait également des jeunes, peut-être des enfants qui ont été bercés aux sons du heavy metal germanique. Pour avoir vu UDO lors de son précédent passage à Québec le temps ne semble pas avoir fait de dégâts notamment au niveau vocal, car, à 65 ans il envoie encore solide et la retraite ne semble pas être d’actualités (un nouvel album d’U.D.O. est en préparation)

La nostalgie plane sur la soirée

Par rapport à sa dernière visite, UDO à part chance modifié sa set list ce qui nous a valu d’entendre des titres moins connus d’Accept, en tout cas pour ce qui me concerne. Le show a duré un bon 2 heures pour le plus grands bonheur des fans, tous ont chanté peut être pour la dernière fois des titres tels que Balls to the Wall, Princess of the Dawn ou encore Screaming for a Love Bite. Une fois les lumières de la salle éteinte, un peu de nostalgie s’est emparé de moi, je n’entendrais probablement plus jamais UDO chanter les chansons d’Accept et il va falloir se faire une raison

Du solide pour lancer la soirée

C’est au groupe de Québec Ültra Raptör qu’est venu la lourde tâche de débuter la soirée. Pour un premier show, ils ont rempli la mission que District 7 Productions. Les 5 membres ne révolutionneront pas le genre, mais ce qu’ils proposent est très bien exécuté et ont peu voir que la passion est là. Ils ont un album en préparation donc à suivre de près! Elm Street venu tout droit de Melbourne en Australie vient faire monter l’ambiance d’un cran. Je n’avais jamais entendu parler de ce groupe, mais ce que j’ai entendu m’a plu. Le groupe déploie beaucoup d’énergie afin de laisser une bonne impression et on peut voir sur leur visage que leur plaisir d’être sur scène. Je pense qu’ils ont réussi à se faire de nouveaux fans.