Une des dernières soirées en format cabaret, on avait droit à une salle qui mélangeait les rockeurs et les punks de la vieille capitale, vraiment cool comme ambiance!

Sur le plancher on était fébrile: ça faisait longtemps qu’on avait pas vu une équipe complète de photographe au travaille, et la soirée s’y prêtait bien, avec au menu la pétillante Marie Desbiens à la tête du Caramel-Grunge de Hipshot et The Damn Truth, pour qui la réputation de bête de scène n’est tout simplement plus à faire.

Hipshot

Récemment de retour d’une tournée en Angleterre, on avait l’impression que c’était un honneur pour eux de fouler la scène de l’Impérial. Rafraîchissant, vrai, catchy… leur bonheur et leur plaisir était contagieux! j’ai vraiment aimé les interactions avec la foule: des excuses d’avance à la foule avant de chanter à tue-tête Si tu savais comment j’haïs tout le monde… du bonbon!

The Damn Truth

Quand tu entends White Rabbit comme chanson d’ouverture, tu sais que ça ne sera pas de la petite bière: The Damn Truth ne font pas les choses à moitié et ils l’ont prouvé une fois de plus. Beaucoup de cheveux (on adore), des solos de guitare, une voix indomptable, Une prestation qui devrait se vendre en pharmacie sous forme de pilule, à prescrire à tous ceux qui sont en manque de show depuis la Covid… Merci, The Damn Truth!

Photos : Philippe Clavet