Premièrement il faut le dire, Streetlight Manifesto est mon groupe préféré. S’il était venu sur scène pour manger des chips et partir, j’aurais été satisfait. Par contre on me paie des milliers de dollars (ou 0$ dépendant à qui on demande) pour faire des critiques objectives. Donc là voici… Streetlight est un band live incroyable. Le show est super tight et les musiciens sont excellents.  Les cuivres sont au centre du stage, ce qui est rare, et ça donne une énergie différente et unique. On n’a qu’à entendre le groupe et la foule sur The hand that Thieves pour comprendre que ce ne sera pas un show qu’on oubliera de sitôt. Tout le parterre Mosh de la première à la dernière note du show.

Honnêtement je ne sais pas quoi dire j’ai l’impression d’avoir vue le père Noël et à voir la face du monde autour de moi, je dirais que le sentiment est partagé! On chante les breaks instrumentaux, les lignes mélodiques et les punch de drum. Évidemment ça aide que le groupe n’ait pas produit de nouvelles musiques depuis 2017, le groupe nous nargue même en annonçant une nouvelle chanson avant de commencer Somewhere in the between.

On nous donne un interlude sous forme de de Jam drum and bass qui aurait été beaucoup plus appréciable si le son n’avait pas été aussi boomy mais en même temps si c’est la pire chose qui se passe ce soir on va avoir eu une méchante bonne soirée.

Pour le rappel, j’attendais impatiemment the hand that thieves mais après la troisième chanson 1234 1234… j’ai du me rendre à l’évidence que je n’allais pas l’entendre ce soir. Mais étant donné que je déménage demain (déménager a 30 ans ça inclus deux enfants, une femme et beaucoup trop de jouets), j’ai décidé de rentrer chez moi.