04.07.2013

Pour ma première soirée au FEQ et malgré mes souhaits, les gros nuages gris se sont invités au-dessus de Québec pour la première soirée du 46e Festival d’été de Québec. En arrivant sur place, la pluie commence à tomber pour le début de la prestation du groupe Indie-Rock de Toronto Born Ruffians. Les festivaliers au parc de la Francophonie n’ont pas eu l’air trop incommodés par cette petite douche et ont bien apprécié le spectacle. Vint ensuite le collectif Écossais de Glasgow, Belle & Sebastian, de monter sur scène. Avec une dizaine d’albums à leur actif et près de 20 ans d’existence ils ont décidé de faire une première visite dans la vieille Capitale lors de leur tournée nord-américaine. La troupe du chanteur Stuart Murdoch ont essayé de faire oublier le petit côté humide de la soirée. Avec 12 musiciens sur scène, l’action ne manquait pas. Plutôt lent à se mettre sur les rails, le spectacle s’est terminé en beauté au grand bonheur des fans sur place. Malgré la température, cette première soirée s’est bien déroulée.

Texte et photo : Pierre Ménard

 Belle & Sebastian

05.07.2013

Deuxième soirée du festival d’été de Québec. J’arrive un peu trop tard au parc de la Francophonie pour voir tout le spectacle du premier groupe, mais j’ai pu voir et entendre quelques pièces. C’est avec un peu de difficulté avec le monsieur de la sécurité qui ne voulait pas me laisser prendre des photos même s’il n’y avait aucune restriction. Après quelques minutes de discussion, il m’a donné l’autorisation et avoué son erreur, j’en ai quand même une petite dizaine de clichés à vous présenter. Gagnant du concours « Clic ton band », My Hidden Side de Québec est composé de trois jeunes frères de 12 et 13 ans. Avec un style énergique et électrisant, le trio en a impressionné plus d’un, par la maîtrise de leurs instruments. On va assurément en entendre parler de ce jeune groupe talentueux. Par la suite c’est au tour du groupe d’Ottawa The Balconnies de venir nous montrer leur savoir-faire. Bien appuyé par trois musiciens la chanteuse et guitariste Jacquie Neville, le groupe y va à fond de train. Rock intense et énergie au menu, une heureuse découverte pour ma part. Ensuite le quatuor de Québec The Hunters monte sur les planches pour nous présenter leur prestation. Encore une fois l’énergie était au rendez-vous, le punk rock était de mise et ça brassait pas mal dans les premières rangées. Toujours au parc de la francophonie, en conclusion de cette chaude soirée, c’est à Bad Religion de venir chauffer la place. Fondé en 1979 le quatuor californien a performé comme d’habitude avec intensité. J’ai finalement terminé ma soirée sur les plaines d’Abraham pour le spectacle Hip-Hop de Wu-Tang Clan. L’unique passage de ce groupe au Québec cet été laissera sûrement une trace dans l’histoire du festival.

Texte et photo : Pierre MénardBad Religion

06.07.2013

Pour cette troisième soirée du Festival d’été de Québec, retour en image sur les concerts de, Father John Misty, Eagles Of Death Metal et The Black Keys.

J’en suis à ma quatrième édition du festival d’été de Québec et je viens à chaque fois avec plaisir dans la ville des anciens Nordiques (c’est à la mode d’en parler ces temps-ci , même si ça c’est un peu essoufflé depuis plusieurs jours) bref, on est pas là pour parler hockey, mais pour parler musique. Le festival a débuté depuis deux jours, mais cette année, j’ai décidé de me calmer un peu et de faire que la moitié des 11 jours que dure le festival. C’est donc avec Father John Misty que je débute mon orgie de musique. Aller dans un festival, qu’on le veuille ou non, ont va découvrir des groupes et avec ce premier concert, c’est cas avec. Father John Misty est un excellent groupe folk rock avec en première ligne leur chanteur du groupe qui retient particulièrement l’attention en communiquant beaucoup avec le public et en effectuant de nombres dance sexy…, une belle découverte pour moi. Ensuite un groupe que j’attendais tout particulièrement, les Eagles Of Death Metal et je n’ai pas été déçu, le chanteur et lui aussi le centre d’attention et il ne manque pas son plaisir d’être ici à Québec. Les Plaines d’Abraham ont vibré tout au long de la soirée au son du rock et ce n’est pas terminé, car le groupe The Black Keys va encore nous en mettre plein les oreilles. J’avais hâte de les voir et surtout ce qu’allait donner le duo en live. Ils sont sur certain titres accompagné d’autres musiciens, mais les titres joués à deux sonnent vraiment fort, vraiment un tout bon show. Avec les horaires qui faisait que les groupes du parc de la Francophonie et ceux des plaines jouaient en même temps, je n’ai pas vu Coeur de Pirate ou Karim Ouellet. Pour m’éviter le trafic, je suis parti un peu avant la fin de The Black Keys afin de prendre un peu de repos bien mérité.

The Black Keys

07.07.2013

Grosse soirée ce samedi 7 juillet, avec du metal et du rock sur les deux scènes principale du festival d’été de Québec.

Cette année, il n’était pas question de revivre le stress du parking au centre-ville, je laisse mon auto à l’Université Laval et prends le bus

Mon début de soirée commence avec Caféïne, mais le fan de métal qui est en moi n’a pu s’empêcher d’aller au pigeonnier voir Never More Ten Less, je suis donc parti dès la troisième chanson afin d’aller constater que l’ambiance était survoltée pour cette soirée métal où j’ai leurs croisé bon nombre de têtes connues, dont celle d’Alain de Québec Metal. Décidément, il est partout et je pense que j’irai voir un show au fin fond de l’Abitibi qu’il y serait aussi.
Par la suite, je suis retourné au-devant de la grande scène où M a donné tout un show, peut être qu’une partie du public ne le connaissait pas, mais je suis sur que maintenant, quand ils vont entendre parler de lui, ils vont dire, c’est lui qui a des lunettes lumineuses en forme de M est qui à surtout enflammé les plaines. Il a à plusieurs occasions mentionné son plaisir d’être sur scène et son amour du Québec et des Québécois.
Quand l’annonce a été faite que Les Trois Accords seraient la tête d’affiche du dimanche, ça dû en faire sourire plus d’un et bien le défi pour eux a été relevé haut la main. Ils ont interprété leur plus grand succès accompagné pour certain d’une choral et d’autre avec des invités tels que Lisa Leblanc ou Coeur de Pirate.
Mon week-end au FEQ s’achève, il est déjà temps pour moi de retourner chez moi, mais c’est sur que je vais être de retour, en fin de semaine, car ça s’annonce rock!

Pendant ce temps là au parc de la Francophonie!

J’ai été agréablement surpris de voir le parc de la francophonie bondée pour un dimanche soir. Les adeptes de Metal étaient choyés par la température pour cette quatrième soirée du Festival d’été de Québec. Dès l’entrée en scène du groupe hardcore Never More Than Less l’atmosphère s’est réchauffée. Le band de Québec fondé en 1999 nous ont joué des pièces de leurs deux albums. Ils ont bien préparé les fans pour la venue de Voivod. Snake et sa bande apparaissent ensuite sur la scène. Malgré un son un peu défaillant, le groupe à livré la marchandise. Les Joncquièrois nous ont fait découvrir plusieurs pièces de leur dernier album « Target Earth » et ont terminé leur prestation avec leur fameuse reprise Astronomy Domine de Pink Floyd. Pour terminer cette soirée metal, c’est au tour d’Avantasia de déferler leurs décibels. Différent du style Voivod et plus metal mélodique, Tobias Sammet et ses acolytes nous ont fait l’honneur de partager avec nous leur seul spectacle au Canada. Finalement cette soirée s’est bien déroulée et je l’ai grandement appréciée.

Texte et photo: Pierre MénardFEQ_Les Trois Accords

09.07.2013

Une foule immense à la scène Bell sur les plaines attendait de pied ferme le groupe californien Weezer pour leur toute première visite à Québec. Il en a coulé de l’eau sous les ponts depuis l’album Bleu paru en 1994. Avec son look rétro d’étudiant, le guitariste chanteur Rivers Cuomo et ses comparses Brian Bell à la guitare, Scott Shriner à la basse et Patrick Wilson à la batterie ont déballer leur succès un à un. Tout a débuté avec My Name Is Jonas et Hash Pipe avec énergie et synchronisme et, bien entendu, plusieurs autres pièces connues tel que Buddy Holly, Undone, ou Beverly Hills ont fait la joie des milliers de fans qui chantaient avec eux par moment. Plusieurs attendaient depuis 14 heures pour voir leurs idoles de près. Avec la coopération de dame nature, on ne pouvait demander mieux pour cette septième soirée du festival d’été de Québec. Très bon show de la part de Weezer qui restera, à jamais, gravé dans nos souvenirs.

Texte et photo : Pierre Ménard

Weezer

10.07.2013

Pour la septième soirée du Festival d’été de Québec, j’ai décidé d’aller voir ce qui se passait du côté de l’Impérial de Québec. Pendant qu’il y avait des orages à l’extérieur, il tombait une pluie de décibels à l’intérieur. Il y avait au menu ce soir la, trois bands qui ont brassé la cage dans le sauna plein à craquer. La soirée a débuté avec le quatuor féminin de Québec Machinegun Suzy. Avec leur rock lourd, les quatre filles vêtues de noir avaient l’intention de laisser leurs marques et elles l’ont fait admirablement. Vient ensuite Gros Mené… Oufff!!! dans le plancher du début jusqu’à la fin. Les solos du guitariste Olivier Langevin sont énergiques et décapants et très bien appuyés par ses deux complices Fred Fortin à la basse et Pierre Fortin à la batterie. Gros Mené ne laisse personne indifférent dans la salle surchauffée. Après un petit repos pour les oreilles, c’est au tour de Jon Spencer Blues Explosion de s’amener sur la scène. Le trio new-yorkais nous a démontré leur savoir-faire. La voix rauque de Spencer se mélangeait bien avec leur hard-blues qui frôle le gros rock sale, mais très efficace. Une tonne de décibels déboulait à un train d’enfer ou l’adrénaline était à son maximum. Trois spectacles d’enfer. J’ai adoré ma soirée malgré un éclairage plutôt médiocre, le son, lui, il était parfait.

Texte et photo: Pierre MénardFEQ_Jon Spencer Blues Explosion

12.07.2013

Pour avoir vu plusieurs vidéos des récents concerts des Guns N’Roses, je ne m’attendais à rien en arrivant à Québec. Les questions que tout le monde se posait étaient, Axl allait il faire sa diva et ne pas se présenter ou alors, à quelle heure le show allait-il commencer, le festival avait d’ailleurs ajouté une close au contrat afin d’éviter ce dernier point.

C’est avec seulement 15 minutes de retard que le concert a débuté et là, j’ai du vite me rendre à l’évidence, Axl en a perdu côté vocal. Si par moment le grain si caractéristique de sa voix est bien là, il arrive souvent que celui-ci disparaisse au profit d’une voix presque enfantine.

Côté set list, un peu de déception, car même les gros classiques étaient là, comme Welcome To The Jungle ou encore Sweet Child O’Mine, il y avait certains titres peu connus qui semblaient s’éterniser sans parler des musiciens qui avaient droit à leur solo afin de permettre à Axl de reprendre son souffle, je donnerai quand même une mention à celui de Richard Fortus qui était teinté de blues, un petit bijou.

Peut être qu’en enlevant tous ces moments qui ont fait retomber l’ambiance, le show aurait été certes plus court, mais aurait gagné en intensité malgré les faiblesses vocales d’Axl.

Moi qui ne les avais pas revus en concert depuis plus de vingt ans, je suis reparti un peu déçu et je me suis remémoré l’incroyable concert de Slash à Montréal il y a quelques mois, mais je suis sûr que la majorité des 80’000 personnes présente à Québec vendredi soir sont reparties avec le sourire.

À noter que c’est les groupes Monster Truck et Skillet (excellent, notamment les deux filles du groupe qui ont une présence incroyable sur scène).

Pendant ce temps là au parc de la Francophonie

Vendredi je me rends au parc de la Francophonie pour la neuvième soirée du Festival d’été de Québec. Ohhh !!! surprise. Beaucoup d’adolescentes sont sur place…. des cris stridents et pancarte à la main les bras en l’air ne demandant qu’à voir leur idole, Carly Rae Jepsen. Mais auparavant on a droit au quatuor de l’ile du Prince Édouard, Paper Lions. Ils nous ont fait découvrir plusieurs pièces de leur album et bien réchauffer la place avec leur Pop-Rock. Ensuite c’est l’apparition du groupe de Québec Automat. Dans le même style que le groupe précédant, le quintet sonne la charge avec leur Pop francophone. Après avoir attendu avec impatience, le jeune public hurle de joie à la première vue du clou de cette soirée. La jeune et jolie chanteuse Carly Rae Jepsen se montre enfin la binette. Ça n’en prenait pas plus pour voir en liesse ces demoiselles crier et chanter les paroles des chansons au grand bonheur de Carly Rae Jepsen. Peu habitué à ce genre de spectacle, mais j’ai quand même aimé cette petite soirée fifille. Quand il y a du talent sur scène c’est difficile de ne pas apprécier ce que l’ont voit et entend. Maintenant je sais qui est Carly Rae Jepsen.

Texte et photo : Pierre Ménard

Guns N'Roses

13.07.2013

C’est avec le show de Daran qu’a débuté ma fin d’après-midi.  Le chanteur français et son groupe jouent à Québec la dernière date de leur tournée qui a fait suite à la sortie de l’album, L’homme dont les bras sont des branches, sorti en 2012. Malheureusement pour moi, pas le temps de voir le show au complet, car celui de Danko Jones allait débuter sur les plaines. J’étais content de les voir de la programmation, car je n’ai jamais eu l’occasion de les voir live. Vraiment un bon show, du rock bien énergique, ça débute bien la soirée. Ensuite, Foreigner ont débuté leur concert un peu un retard (peut être un reste des Guns N’Roses le soir précédent), mais ça n’a pas pris une heure pour mettre le party sur les plaines, on est rentré direct dans le vif du sujet. Au début, je me suis dit WOW!! Incroyable ce groupe que je pensais ne pas connaître, mais plus le temps plus je me disais, je la connais celle-là, pis celle-là aussi et encore celle-là. Bref que des hits tout au long du show, pas un temps et de l’énergie de la première à la dernière minute, c’est eux qui auraient du joué à la place des Guns, même le solo de.      Était intéressant et dire qu’a ce moment-là de la soirée, la tête d’affiche n’a pas encore joué. Def Leppard devait sortir l’artillerie lourde après le passage de Foreigner et ça n’a pas pris plus d’une minute pour se rendre compte que ça allait LE concert de cette édition 2013, en tout cas ça est pour moi. J’en ai enlevé mes bouchons tellement le son était parfait, la voix de Joe Elliot est superbe et n’a pas change ou presque avec les années. Vivan Campbell aux guitares se relaient pour les solos et je n’oublie pas la section rythmique emmenée par les deux Rick. Et la set list me direz vous ? Du lourd, très lourd. Que des hits que tout le monde connais par cœur tel que : Hysteria, Love Bites ou encore Women. Petit moment nostalgie avec une vidéo juste avant et pendant Gods Of War où l’ont a pu voir le regretté Steve Clark a la guitare. Je suis vraiment content de les avoir revus, car la dernière fois remonte à bien des années et même si je n’ai plus l’occasion de les revoir, je vais garder un superbe souvenir de ce show à Québec.

Pendant ce temps là au parc de la Francophonie

Samedi, avant-dernière soirée du Festival d’été de Québec. Je me rends, encore une fois, au parc de la Francophonie, je laisse les Plaines à mon ami Sébastien.

Déjà à mon arrivée il y a une foule assez dense sur le site. Les trois groupes à l’affiche sont assez populaires pour un certain auditoire plutôt jeune. Tout d’abord, c’est au groupe Final State de se présenter. Ils nous interprètent plusieurs pièces de leurs deux albums, surtout du dernier Still I Believe It’s True. Bonne prestation de la part du groupe de Québec.

Ensuite c’est au tour du groupe Pop-Rap-Rock de Toronto Down With Webster de monter sur les planches. J’ai été agréablement surpris par leur performance et l’énergie qu’ils dégagent sur scène. Ils ont fait embarquer la foule dans leur manège et tout allait rondement. Le mandat a été donné à Marianas Trench de terminer cette soirée Pop-Rock. Le quatuor de Vancouver en a mis plein la vue aux fans sur place qui étaient venu spécialement pour eux. Ça rockais en masse dans le parc de la Francophonie.

Def Leppard

Si je vous dis, un demi-siècle de carrière et 22 Grammy Awards, vous me dite ? Stevie Wonder voyons donc, qui d’autre!
Pour clore cette édition de festival, l’équipe de programmation a frappé fort avec la venue la légende de la soul musique qu’est Stevie Wonder.
Pour l’avoir vu en conférence de presse en début d’après-midi, il est en très grande forme et il nous a offert un petit solo de harpejji qui est son instrument favori depuis quelque temps et a été très généreux de son temps.

Pour débuter ma soirée sur les plaines, j’allais pouvoir voir la chanteuse française, ZAZ qui avait visiblement fait une superbe impression le soir d’avant à la place d’Youville au vu des critiques positives que j’ai pu lire. Tout au long de sa prestation, j’ai apprécié tant sa douceur sur certains titres que son énergie sur d’autres. Malgré l’immensité du lieu, elle et son groupe m’ont amené dans un club de jazz en cette fin d’après midi, un vrai plaisir.

Ensuite, Raphael Saadiq a envahi la scène avec tout son groupe et, nous ont offert tout un show soul et R’n’B. Le guitariste chanteur est accompagné par des musiciens hors pair, ce qui nous donné une excellente entrée en matière avant la venir du maitre.

Pour moi qui suis photographe, pouvoir shooter Stevie Wonder est un réel plaisir, après avoir lu le release qui nous indiquait que notre temps photo allait se limiter à une poignée de secondes, j’ai d’ailleurs pris ça avec philosophie en me disant que de toute façon, j’avais de la chance d’être là. Une fois dans le pit, une personne de son équipe nous à expliqué comment allait se passer la séance qui finalement s’est prolongée de plusieurs minutes à notre plus grand plaisir.

Et le show me direz vous! Tout un show mon homme, Stevie Sonder a tout simplement mis l’immense foule présente dans sa poche à la seconde même où il est entré sur scène. Les plaines d’Abraham se sont transformées en chorale de dizaines de milliers de personnes qui ont repris tous les tubes de Mr.Wonder. À noter que Stevie a eu une pensée pour les personnes de Lac Mégantic en promettant de revenir lors du concert de Paul McCartney si on l’y invitait.
Le festival s’achève de la plus belle façon avec ce concert et je tiens à remercier l’organisation qui nous a permis d’être présents pour la quatrième année consécutive.FEQ_Stevie Wonder

Pendant ce temps là, à l’Impérial

Pour terminer le Festival d’été de Québec, je me dirige vers l’Impérial de Québec pour voir les trois groupes qui s’y produiront. Déjà à l’extérieure c’est chaud et humide, j’appréhende donc que ce soit encore pire à l’intérieur. En effet, c’est très chaud dans la place qui est pleine pour cette dernière soirée. Ça débute avec le groupe de Québec Les Indiens. Du rock lourd avec une touche de psychédélique, leur courte prestation a été chaudement accueilli. Ensuite c’est Monster Truck de faire son entrée sur scène. Le quatuor d’Hamilton avait déjà fait une présence au festival, vendredi, en ouverture du spectacle de Guns N’ Roses sur les plaines. Ils ont fait sauter la baraque avec leur hard rock énergique. Très bonne performance avant l’arrivée du prochain groupe. Finalement le groupe phare de cette soirée se pointe. C’est au tour de The Sheepdogs de continuer cette soirée endiablée. Pour leur deuxième visite au festival le groupe de Saskatoon nous a proposé plusieurs pièces de leurs quatre albums. Quand j’ai quitté la salle, l’électricité était à son comble et à voir les visages tout le monde était content. On a encore eu droit à de très bons spectacle et à plusieurs surprises lors de ce 46e Festival d’été de Québec. J’ai déjà hâte à l’an prochain.

Texte: Pierre Ménard