Mercredi soir dernier, le Théâtre Corona recevait la visite du groupe français La Femme ainsi que Jacques en première partie.

Jacques devait commencer à 20 h et mon vers 7.50pm, je le vois arriver sur scène avec un look des années 80. Seul au milieu de ce paquet de pédales de guitare, de clavier, une guitare et autre bidule électronique. Quelques fois il chante, mais pas plus. J’ai réussi à avoir quelques clichés intéressants, mais point de vue musical je passe mon tour, je ne suis pas le plus grand amateur de musique électronique, mais j’ai essayé de le regarder et de l’écouter, mais il n’a pu capter mon attention. Malgré ça la foule a l’air d’apprécier.

La Femme est un groupe français de Paris et c’est une autre soirée de découverte, car je n’avais aucune idée a quoi je pouvais m’attendre et à ma grande surprise la salle était pleine, j’ai même eu de la difficulté à me rendre à l’avant de la scène pour vous apporter quelques photos. Leur style est un peu compliqué à décortiquer, je pourrais dire un style groovy, populaire, par leur mélodie accrocheuse. Il y avait 3 synthétiseurs au-devant de la scène, le guitariste se tenait du côté droit et à l’arrière la bassiste et le batteur. Dès les 1eres notes j’ai senti la frénésie dans la foule. Le groupe a commencé avec la chanson Sphynx suivie de Mycose, Où va le monde, Septembre. Les membres du groupe s’échangent l’emploi de chanteur, ce qui très intéressant en nous donnant des variations vocales différentes en passant entre une voix féminine et masculine. La bassiste est un peu plus retirée vers l’arrière et elle sort de scène pendant quelques chansons. Contrairement à moi la foule connait bien les chansons des Français en les attendant chanter et surtout danser, du devant de la scène, jusqu’au balcon, pour ma part j’aime bien leur musique pop accrocheuse, la soirée c’est terminé avec les chansons Vagues, Cold Colorado et Antitaxi, ils sont en tournée à travers les États-Unis dont quelques dates ont été sold out et le reste du Canada.

Merci à Greenland et Evenko de leur invitation.

Texte et photos: Sébastien Jetté